Les réseaux sociaux nous accompagnent au quotidien, et sont aujourd’hui
considérés, au même titre que la cigarette, comme une addiction.
Plus c’est accessible, plus ça marche. Avec eux, nous devenons en demande de
notifications. Attendre cinq minutes mon bus ? Go Facebook. Le cours m’ennuie ? Go
Instagram... Il est aujourd’hui impératif de remettre en question notre consommation des
réseaux sociaux, puisque qu'ils peuvent toucher notre santé mentale.
Investissement temps = impact mental
En moyenne, un Français y passe 1h22 par jour, ce qui donne au final 18 jours par an
passés sur les réseaux sociaux... Ce temps, passé sur ces écrans, impacte donc
naturellement notre façon de penser, et en découle un impact sur la santé.
« l’utilisation excessive aux réseaux sociaux, peut entraîner une croissance de l’anxiété, pouvant aller à la longue, jusqu’à la dépression »
dixit le site I-share.fr.
Lien vers le site
http://www.i-share.fr/actualite/limpact-des-reseaux-sociaux-sur-la-sante-des-jeunes
En demande de reconnaissance
Un système chiffré va agir directement sur nous, c’est le nombre de like(s) et son
importance. En particulier sur Facebook et Instagram. En découle une demande de
reconnaissance, mais aussi une remise en question de sa propre image. Les réseaux nous montrent alors l'idéal physique qu’il faudrait posséder.
Une nouvelle identité
Sur les réseaux, on définit notre propre personnalité virtuelle, qui ne prend souvent en
compte que les meilleures parties de notre vie : nos voyages, nos séances de sport,
nos sorties entre amis, nos plus belles photographies… De plus, il s'est développé au
cours de ces dernières années, même chez les plus jeunes, une augmentation de la sexualisation des photos. Certains vont se référencer aux personnalités les plus populaires des réseaux. Ils vont alors de façon presque machinale, les imiter.
Il est maintenant plus que jamais, important de remettre en question notre temps passé
sur les réseaux sociaux. Oui c’est pratique, oui c’est utile, oui, on retrouve nos amis de la
maternelle... Mais sa dépendance nous éloignera du vrai bien être naturel.
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